Táto dramatická trilógia sleduje osudy prefíkaného holiča, ktorý svojimi intrigami a dôvtipom manipuluje šľachtou aj obyčajnými ľuďmi. Príbehy sa odohrávajú v historickom prostredí a sú plné humoru, lásky a spoločenskej satiry. Diela sú preslávené nielen ako divadelné hry, ale predovšetkým ako základ pre slávne operné adaptácie.
Le comte Almaviva veut épouser la charmante Rosine qui l'aime et qui vit enfermée chez le vieux docteur Bartholo. Mais Bartholo a décidé de se marier avec Rosine dès demain... Alors, qui va l'emporter, dans cette comédie joyeuse et pleine de mouvement ? Le docteur Bartholo, avec l'aide de l'inquiétant Don Bazile ou le comte Almaviva, grâce au rusé Figaro qui s'est mis à son service ?
Le barbier de Seville: comedie en quatre actes / theatre Caron de BeaumarchaisCollection: Romans du jour illustresCe livre est la reproduction fidele d'une oeuvre publiee avant 1920 et fait partie d'un projet propose par la Bibliotheque nationale de France (BnF), offrant l'opportunite pour les lecteurs, enseignants ou chercheurs d'acceder a des ouvrages anciens et souvent rares issus de ses fonds patrimoniaux.Les oeuvres de cette collection appartiennent au domaine public . Elles ont ete numerisees par la BnF et sont presentes sur Gallica, la bibliotheque numerique de la BnF.En entreprenant de redonner vie a ces oeuvres au travers d'une collection de livres reimprimes a la demande, nous offrons la possibilite a ces oeuvres de rencontrer un public elargi et participons a la transmission de connaissances et de savoirs difficilement accessibles par ailleurs.Sur un plan technique, nous avons cherche a concilier la reproduction fidele d'un livre ancien a partir de sa version numerisee avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous esperons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entiere satisfaction.http: //gallica.bnf.fr/ark: /12148/bpt6k6228521m
A French courtier, secret agent, libertine and adventurer, Beaumarchais (1732-99) was also author of two sparkling plays about the scoundrelly valet Figaro triumphant successes that were used as the basis of operas by Mozart and Rossini. A highly engaging comedy of intrigue, The Barber of Seville portrays the resourceful Figaro foiling a jealous old man's attempts to keep his beautiful ward from her lover. And The Marriage of Figaro condemned by Louis XVI for its daring satire of nobility and privilege depicts a master and servant set in opposition by their desire for the same woman. With characteristic lightness of touch, Beaumarchais created an audacious farce of disguise and mistaken identity that balances wit, frivolity and seriousness in equal measure
[Beaumarchais'] fame rests on Le Barbier de Seville (1775) and Le Mariage de Figaro (1784), the only French plays which his stage-struck century bequeathed to the international repertoire. But his achievement has been adulterated, for 'Beaumarchais' has long been the brand name of a product variously reprocessed by Mozart, Rossini, and the score or so librettists and musicians who have perpetuated his plots, his characters, and his name. The most intriguing question of all has centered on his role as catalyst of the Revolution. Was his impertinent barber the Sweeney Todd of the Ancien Régime, the true begetter of the guillotine? . . . Beaumarchais' plays have often seemed to need the same kind of shoring up as his reputation, as though they couldn't stand on their own without a scaffolding of good tunes. Yet, as John Wells' lively and splendidly speakable translations of the Barber, the Marriage, and A Mother's Guilt demonstrate, they need assistance from no one. [Beaumarchais] thought of the three plays as a trilogy. Taken together, they reflect, as John Leigh's commentaries make clear, the Ancien Régime's unstoppable slide into revolution. --David Coward in The London Review of Books
Pendant ma longue proscription, quelques amis zélés avaient imprimé cette pièce, uniquement pour prévenir l'abus d'une contrefaçon infidèle, furtive, et prise à la volée pendant les représentations. Mais ces amis eux-mêmes, pour éviter d'être froissés par les agents de la Terreur, s'ils eussent laissé leurs vrais titres aux personnages espagnols (cat alors tout était péril), se crurent obligés de les défigurer, d'altérer même leur langage, et de mutiler plusieurs scènes.